Radio France : Les élèves de première année de l’école Jules-Romain à Brive-la-Gaillarde font la lecture intégrale du Jardinier qui cultivait des livres. Huit minutes de bonheur !
- Prix Saint-Exupéry
- Le Devoir, par Marie Fradette
- Radio Canada
- Un honneur international
- Le Devoir : L’itinérance…
- J’enseigne avec la littérature
- Parfums de livres
- Encres vagabondes
- Mes échappées livresques
- Je lis comme je respire
- J’enseigne avec la littérature jeunesse
- Primé à l’étranger
- Maman Fouine
- Les libraires craquent!
- Extrait des bibliothèques de Nîmes, France
- Délivrer des livres
- Bob et Jean-Michel
- Suggestion Amélia Cossette
- Lisez jeunesse
- Chut on lit
- Revue recherches
- Les lectures de Liyah
- Mya’s books
- Librairie sandales
- J’enseigne avec la littérature jeunesse
- Entrevue sur Babélio
- Rêveurs et mangeurs de papier
- Chronique de Koryféé
- Les P’tits mots dits
Nadine Poirier, Amélie Dubois (ill.) La peine de Sophie-Fourire, 2016, Les 400 coups
« Un livre exceptionnel qui aidera les jeunes lecteurs à éveiller leur empathie, à comprendre le chagrin face à la perte d’un proche et, peut-être, à franchir les étapes vers le retour de leur sourire. (S. C.) Lurelu, vol. 40 #2, automne 2017″
« Encore une fois, Nadine Poirier touche au cœur avec une histoire qui allie l’imaginaire enfantin et une réalité plus dure, plus triste, celle d’un homme sur un bout de trottoir, itinérant. À hauteur d’enfant, elle nous présente simplement sa réalité au fil des questionnements de la fillette ainsi que le lien fort qui se tisse entre ces deux êtres jusqu’à la finale, parfaite. L’illustratrice Geneviève Després se glisse dans le texte et le sublime. D’abord à travers la bouille sympathique du personnage principal et un rendu de la ville surprenant, alors qu’avec une architecture, un escalier, un panneau de vitesse et la met en scène. Mais c’est surtout avec le jeu de transparence et le jaune éclatant de la couverture qu’elle réussit un coup de maitre, enveloppant toute l’histoire de douceur et de lumière. Un livre qui fait du bien et donne envie de s’intéresser à ceux qu’on croise dans la rue… »
Sophie Gagnon, Les petits pois lisent tout
Trouver un angle aussi lumineux pour traiter de l’itinérance avec justesse et tendresse, cela reflète de l’immense talent de l’autrice, Nadine Poirier. Vous aurez aussi reconnu les traits vaporeux et colorés de Geneviève Després. Dans La case 144, l’illustratrice s’est réellement surpassée, notamment grâce aux insertions en filigrane lorsqu’on nous plonge dans l’imagination foisonnante de la fillette. Une oeuvre comme celle-ci illustre à quel point les histoires servent autant à mettre des mots sur nos émotions qu’à tisser des liens sociaux, tel qu’en témoigne le manifeste On a tous besoin d’histoires. « Dans les albums, grâce aux illustrations qui tiennent une place aussi fondamentale que le texte, les enfants s’approprient souvent les émotions du héros (…) (Les enfants) ont, comme nous tous, cette capacité à compatir avec l’autre. Un fort sentiment d’empathie. » (C) Marie Barguidjian, On a tous besoin d’histoires, p. 27 Pour toutes sortes de raisons, mais principalement pour l’humanité qui en émane, cet album se doit de faire partie de votre bibliothèque.
http://enseignerlitteraturejeunesse.com/2020/03/23/prendre-conscience-de-ses-privileges-premiere-partie/
« Les images dégagent une douceur qui se lie finement au texte de Nadine Poirier. Cette histoire d’amitié saura toucher le lecteur autant que des classiques tels que Je t’aimerai toujours de Munsch. »
Émilie Bolduc, Le Fureteur.
« Un album magnifique qui gonfle notre coeur de joie lorsqu’on le termine. Une histoire pour les amoureux des livres mais qui parle aussi d’adoption, du temps qui passe, de soin… d’amour tout simplement. »
Bobetjeanmichel.com
C’est tout simplement merveilleux de découvrir ce vieil homme et cette enfant réunis autour des livres, qui apprennent à prendre soin l’un de l’autre. Verdict : Il s’agit là d’un album tendre et émouvant à mettre dans les mains de tous les amoureux des livres. Il évoque avec simplicité la solitude, le partage et l’amour autour de deux personnages terriblement attachants. De chaque dessin à l’aquarelle ressort beaucoup d’émotions et on ne peut terminer la lecture qu’avec un grand sourire.
https://revesurpapier.blog4ever.com/le-jardinier-qui-cultivait-des-livres-de-nadine-poirier
Que d’émotions dans cet album ! C’est l’histoire d’un homme passionné par les livres qui a voulu partager son amour des mots avec les autres mais s’est retrouvé seul, à l’écart du reste du monde. C’est l’histoire d’une petite fille seule qui aime aussi les livres et cherche un peu de compagnie… Bien que très différents, ces deux-là vont se rapprocher grâce à leur goût commun pour la lecture. On assiste avec émotions à cette jolie rencontre pleine de pudeur et de délicatesse… Il y a beaucoup de tendresse et de poésie, aussi bien dans le texte que dans les illustrations. Que c’est beau ! C’est un livre qu’on a envie de lire tout doucement, en chuchotant, car on ne voudrait pas déranger. On ne voudrait pas gêner ou empêcher le rapprochement du vieil homme et de la petite fille. On est dans une petite bulle emportée par le souffle des mots. C’est un livre qui aborde avec justesse et délicatesse le pouvoir de la lecture. Cette faculté qu’elle a de nous transporter avec une facilité déconcertante d’un endroit à un autre, d’une époque à une autre et même d’une émotion à l’autre. C’est un album qui donne envie de lire des tas d’histoires et aborde aussi l’amour et la parentalité, la solitude, le partage et les relations intergénérationnelles. Les illustrations de Claude K. Dubois (« La Pêche à la lune », « Boîtes à bonheur », « Les Mots doux ») sont, comme toujours, merveilleuses ! La nature prend toute la place et les émotions débordent des pages. Impossible d’y être insensible ! Je suis sous le charme et ne peut que vous recommander vivement de découvrir cette pépite.
Myarosa http://mya.books.over-blog.com/2020/08/le-jardinier-qui-cultivait-des-livres.html
C’est un jardinier d’un genre bien particulier que nous rencontrons ici. En effet, il ne cultive pas de fruits ni de légumes mais des livres. Dans son jardin il fait en effet pousser des romans, des albums, des bandes dessinées et des livres d’aventure. Ce qu’il aime par-dessus tout c’est partager ces histoires avec les gens de son village. Mais ces derniers, peu sensibles à ses lectures, l’ont chassé. Désormais, exilé dans une vallée éloignée, il continue ses cultures de livres et en découvre chaque soir un nouveau, lequel lui tient compagnie et apaise sa solitude. Jusqu’au jour où une petite fille orpheline trouve refuge dans ses plantations de livres. Et si c’était l’occasion d’unir leurs solitudes autour d’une même passion? Un texte sensible et des illustrations superbes J’ai découvert récemment les éditions D’Eux émerveillée par leur ligne éditoriale, tant par la qualité des textes que par la magnificence des illustrations. Attendez-vous donc à ce que je vous reparle sans tarder d’autres ouvrages de cette merveilleuse maison d’édition. C’est une histoire indiciblement émouvante que nous offre Nadine Poirier. Avec beaucoup de finesse, de sensibilité, elle évoque le pouvoir merveilleux des mots, des livres, de la lecture. Ou comment voyager, apprendre, se sentir moins seul, se divertir grâce aux livres. Mais pas seulement. Avec la rencontre entre le jardinier solitaire et la jeune orpheline, elle aborde le sujet de la paternité. Qu’est-ce que devenir père ? Que signifie s’occuper d’un enfant ? Les liens du sang sont-ils les seuls qui comptent? Des thèmes superbement mis en valeur par les magnifiques illustrations de Claude K. Dubois. Ce sont en effet des aquarelles d’une douceur infinie qui habillent le texte et le mettent en valeur. Vous l’aurez compris ce livre pour enfants est un énorme coup de cœur. Je ne saurais que trop vous conseiller de l’offrir à vos enfants, aux enfants de vos amis et pourquoi pas à vous, grand enfant que vous êtes resté?
Karine Fléjo https://leschroniquesdekoryfee.wordpress.com/2020/07/15/le-jardinier-qui-cultivait-des-livres-nadine-poirier-et-claude-k-dubois/
Rien qu’en lisant le titre de cet album j’ai su que j’allais l’adorer. Je ne savais pas du tout à quoi m’attendre à la lecture et mes espérances étaient très hautes . Et bien je n’ai pas été déçue. « Nadine Poirier raconte ici, avec des mots tendres et choisis, une rencontre entre un jardinier et une jeune fille. Lui, seul, à cultiver des livres. Elle, seule, sans parents. Leur rencontre changera leur vie à tout jamais. Et d’une certaine façon, la façon de regarder des lecteurs. » Cet album est une petite pépite . Au travers d’illustrations d’une infinie douceur l’auteur nous livre une histoire extrêmement touchante. Celle d’un vieil homme solitaire, un peu marginal rejeté par les autres et qui se croit incapable de s’occuper d’une petite fille. Grâce à cette petite fille il finira par comprendre qu’il a autant besoin d’elle qu’elle n’a besoin de lui et leur amour pour les livres ne fera que renforcer leurs liens. Ce livre traite à merveille de la peur de la différence mais aussi de l’amour et des livres . Cet album m’a beaucoup touché tant par le propos que par les illustrations qui le rendent très poétique . C’est un très gros coup de cœur. N’hésitez pas à le lire . Il vous plongera dans un univers d’amour et de tendresse. A lire dès 5 ans.
https://nathilit.wordpress.com/2020/06/05/le-jardinier-qui-cultivait-des-livres/