Amour interdit, collection Tabou
14 ans et +
Au ranch où son cheval est en pension, Amélia fait la connaissance d’Éthan : c’est le coup de foudre! Rapidement, les amoureux deviennent fusionnels. Jusqu’à ce que les mots « relation illégale » soient prononcés. Ce Roméo et cette Juliette des temps modernes ne pourront plus s’aimer au grand jour sans craindre de voir la police débarquer pour menotter Éthan.
À la dérive, collection Tabou
14 ans et +
et négligés par une mère alcoolique et toxicomane, Nolan et sa sour, encore tout jeunes, sont pris en charge par la DPJ. Commence alors un long périple de famille d’accueil en famille d’accueil, au rythme des mauvais coups que fait Nolan pour en être expulsé.
À seize ans, après avoir passé la moitié de son existence dans le « système », Nolan est toujours convaincu qu’il réussira à retourner auprès de sa mère. Même si celle-ci ne lui témoigne plus aucun intérêt, il ne peut envisager sa vie sans elle et n’offre son attachement à personne d’autre. Jamais une nouvelle mère ne pourra être plus aimante que celle qu’il s’est fabriquée dans son imaginaire. Son agressivité grandissante et ses séjours fréquents au centre jeunesse lui confèrent un statut de délinquant, de rebelle. Qui donc voudrait d’un adolescent pareil sous son toit ? Une famille, pourtant, semble finalement croire en lui. Et il y a Laurie. Si forte et courageuse. Se pourrait-il que cette rencontre parvienne à tout changer ?
L’abandon, qu’il soit vécu au sein d’une cellule familiale ou en institution, est souvent responsable du trouble de l’attachement. Des comportements défiant les règles établies par la société s’ensuivent, ainsi que les sanctions qui s’imposent. Il devient alors difficile de penser à l’avenir de façon optimiste. S’ouvrir aux autres peut être la solution pour réussir à repartir sur de nouvelles bases.
Projet C, collection Tabou
14 ans et +
j’étais petite, mon père me répétait sans cesse à quel point j’étais laide. Avec mes cheveux crépus et mon teint de mulâtre, je détonnais à côté de mes sœurs, blondes, à la peau de porcelaine. En vieillissant, je rêvais de ressembler aux mannequins dans les magazines, aux vedettes de la télé. Mais j’ai fini par comprendre que je ne serais jamais comme elles. Jamais jolie. Juste ordinaire. Maintenant, je cache mon manque de courbes sous des vêtements trop grands. Et je m’isole, tentant de devenir invisible aux yeux des autres.
Mais voilà, récemment, j’ai trouvé la solution à mes problèmes. À mon manque de confiance. Tout ce qu’il me faut, ce sont des seins plus gros. Je me sentirais tellement bien ! Je pourrais porter des décolletés comme les autres filles, et enfin espérer connaître l’amour… Ma mère et ma meilleure amie me parlent des complications de l’opération. Mais je me fiche de ce qu’elles racontent. Aucun risque n’est assez grand pour me dissuader d’aller jusqu’au bout de mon projet C.
Beaucoup de jeunes femmes pensent à recourir à l’augmentation mammaire, convaincues que, pour être belles, elles doivent correspondre aux modèles fabriqués par l’industrie de la mode. La chirurgie comporte toutefois des risques qui ne sont pas toujours considérés avec sérieux par les patientes. Bien se renseigner est primordial avant de songer à cette solution dont certains effets peuvent être irréversibles.
Adios, Collection Tabou
14 ans et +
Palmarès communication jeunesse 2012-2013
Sélection Communication jeunesse 2013
Je m’appelle Sam. J’ai 18 ans. Je suis nul. Pour le moment, c’est tout ce que je sais de moi. Et c’est assez difficile à avaler…
Je viens de doubler mon secondaire 5. Avec brio ! En fait, ce que je réussis le mieux, c’est « pocher » mes examens. En restant 100 % dans la lune (ça me ferait au moins un 100 dans mon bulletin !) et en n’étudiant pas, je me suis mérité un an de plus en enfer.
J’en peux plus qu’on me demande ce que je veux faire de ma vie! Je n’en ai pas la moindre idée. J’en ai marre d’y réfléchir. À la limite, je m’en fiche. Je veux seulement lâcher l’école, sans décevoir ma blonde et ma famille. En même temps, j’ai peur de faire la gaffe de ma vie.
J’ai juste envie d’aller voir ailleurs si j’y suis. Ouais, c’est ça, j’me pousse! Non. Ce serait carrément fou. Oh, et puis, tant pis. Qu’est-ce que je risque au fond? Ici, c’est le vide, le néant. Ailleurs, j’arriverai peut-être à me trouver.